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Création : 02/05/2010 à 09:01 Mise à jour : 24/09/2014 à 12:58

#Vendredis du Vin # 49 : Putain de Thym !

#Vendredis du Vin # 49 : Putain de Thym !
Quarante neuvième numéro des Vendredis du Vin, avec pour thème, cette fois-ci :
LE VIN ET LES FLEURS !

#Vendredis du Vin # 49 : Putain de Thym ! 
Des magnolias aux fleurs de pavots, de l'acacia en fleur, bien sûr, sur chablis en rut ou de la délicate fleur de vigne remarquée sur un sauvignon en chaleur, quand ce n'est pas de la fleur de buis frais, moi j'veux bien mettre dans le vin toutes les fleurs que vous voudrez me donner, n'importe quoi, y compris le muguet, la rose ancienne ou la pivoine de ma grand-mère Suzanne.
 #Vendredis du Vin # 49 : Putain de Thym !
Il y en a une pourtant qui retient mon attention plus que d'autres, c'est la fleur de thym, celle de la Saint-Jean en particulier, celle que l'on rencontre à foison lorsque le mauve délicatement parfumé et huileux explose en touffes éparses sur le sol pierreux des Corbières qui commence à se réchauffer. Ce thym que d'autres qualifieraient de « commun » alors qu'en Provence on l'affabule du joli nom de « farigoule », je le baptise sans gêne « putain de thym » tant il est parfois flagrant dans les vins !
 #Vendredis du Vin # 49 : Putain de Thym !
Jusque là rien de bien extraordinaire me direz-vous à juste titre. Ben oui. Sauf qu'il y a quelque chose d'étonnant. À chaque fois que je goûte les vins rouges de ma région en période florale, en gros de Mai à Juillet, en pleine période du solstice d'été, là où les jours sont les plus longs, je suis sous l'emprise de ce « putain de thym ». Bon, avec vous, entre gens du vin, point n'est besoin de me justifier. Vous savez que « putain », dans ce sens là, est un terme plutôt affectif. Mais c'est aussi, quand on l'utilise à bon escient, un moyen de s'affranchir des choses courantes, de dire que ce goût de thym est parfois trop prononcé, trop envahissant. Ce n'est pas franchement une question de cépage, du moins je ne le pense pas. Ainsi, les notes de thym – de la garrigue, je précise bien – ne sont pas que l'apanage du Carignan, parfois aussi accentué d'orange sanguine. On le retrouve dans un cabernet franc, un merlot, une syrah, un grenache, un mourvèdre et même un cinsault.
#Vendredis du Vin # 49 : Putain de Thym !
Est-ce une association d'idée ? Exemple : « Ce vin vient de la garrigue, en conséquence il doit sentir l'olive noire, la pierre brûlée, le ciste, le genièvre... et le thym ». Ou existe-t-il une réelle cause à effet pour sentir ces notes florales, douces et empyreumatiques, parfois enivrantes ? Je me souviens, par exemple, d'un vin médocain qui, goûté jeune, sentait le goudron. Son géniteur, lorsque je lui en parlais, m'indiquait avec un sourire en coin : « Marrant ce que vous me dîtes, mais en Juin, les Ponts et Chaussées ont bitumé un chemin qui longe la vigne sur 300 mètres. C'est cette même vigne qui a donné le vin que vous goûtiez ».
#Vendredis du Vin # 49 : Putain de Thym !
J'aime croire en ces deux versions. Toujours est-il que, lorsque je bois un « Cochon » de la Coopérative d'Embres-et-Castemaure, par exemple, peu importe que les raisins aient été ramassés à la machine ou à la main, tôt le matin ou tard le soir, nonobstant le ciste, le romarin ou la lavande, je ne peux m'empêcher de sentir ces putains d'effluves collantes d'essences de thym comme agglutinées au raisin. Mon ½sophage en est bouleversé : lui aussi ressent cette matière infiniment sudiste qui s'imprime jusqu'au plus profond de mon être. Je le sais, pour la bonne raison qu'il en a expédié le message à mon cerveau en ligne directe. D'ailleurs, même si la Saint-Jean est loin, j'ai du thym en fleur plein la tête.
Michel Smith
 
 
 
Tags : thym, carignan, garrigue, Languedoc, Roussillon, Sud
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#Posté le vendredi 28 septembre 2012 14:56

Modifié le jeudi 11 octobre 2012 14:33

Guides du Vin ? C'est quoi ce cirque ?

Juste pour voir, je vous refile un article que je viens de commettre dans un site auquel je collabore et que je vous recommande chaudement ICI.
Guides du Vin ? C'est quoi ce cirque ?
Chaque année avec la vendange, il reviennent tels des étourneaux, pour mieux nous escagasser. Oh, rien de mauvais, rassurez-vous. Un marronnier de plus avec la rentrée des classes. À vrai dire, ne pensez-vous pas que les guides du vin posent plus de questions qu'ils n'apportent de nouveautés ? Au point que, à moins de chercher à faire du buzz vineux, il devient fort compliqué d'en parler, sauf à se contenter d'annoncer leur sortie et leur prix (autour de 25 ¤) comme s'il s'agissait d'un vulgaire avis de naissance. À moins encore de se poser des questions sans importance, du genre : « Mais pourquoi les six mâles de la RVF posent-ils tous (sauf J.E. Simond) l'air satisfaits les bras croisés sur le ventre » ? Est-ce parce qu'ils ont tant et tant ripaillé pour en arriver là qu'ils tentent de cacher leur bedaine ? Ne trouvez-vous pas qu'au fil des ans, ces guides sont devenus déroutants de naïveté, confondants de certitudes, navrants de simplification, beaucoup trop donneurs de leçons à mon goût et si imbus de leur « expertise » qu'on se croirait chez La Fontaine dans une de ses fables ?
Guides du Vin ? C'est quoi ce cirque ?
Remonte alors en moi l'image du journaliste (rat) de ville qui débarquerait à la campagne chez le (rat) vigneron comme s'il posait le pied sur une autre planète : à l'aise et sûr de lui dans ses souliers vernis d'explorateur mondain après une série de dîners en ville où il a pris tant et tant d'importance que son ego est sur le point d'exploser. J'ai quelques noms sur la langue, mais je me retiens. Et, soyons honnête, il y a aussi plus d'un vigneron qui a la tête aussi grosse qu'une pastèque de concours agricole !
 
Les auteurs, pour la plupart, font partie du cercle des oracles que l'on consulte, que l'on vénère, que l'on interroge et que l'on écoute, mais que l'on veille à ne surtout pas froisser même s'ils sortent une connerie monumentale. En même temps, je les plains ces gars : hormis le manque de moyens qui les oblige à éplucher le vignoble telle une marguerite que l'on effeuille, ils s'obligent à subir des dégustations marathon en principe à l'aveugle où l'on doit exclure plus que retenir, faute de place, où l'on doit aussi déshabiller Paul pour mieux rhabiller Jacques. Au fait, qui suis-je pour dire des horreurs pareilles ? Rien de plus qu'un pauvre type, cracheur dans la soupe, qui, à peu de choses près, était prêt à faire comme eux, il n'y a pas si longtemps...
 
Que vous dire que vous ne sachiez déjà ? Qu'en matière de guides du vin il y a à prendre et à laisser ? Que certains jubilent avec le Guide Hachette ? Que d'autres se lamentent en feuilletant le Guide Vert dit « de la RVF » ? Que l'on est content de voir qu'untel est enfin reconnu, déçu de constater qu'un autre n'a toujours pas la note qu'il mérite ? Furieux de noter que ceux que l'on déteste ont su joliment baratiner le journaliste afin de se le mettre dans la poche en l'attirant chez lui pour un repas en toute complicité ? Triste aussi de voir que certains vignerons ne figurent toujours pas et demeurent à jamais inconnus ? Navré de réaliser que l'on va toujours chez les mêmes et jamais, ou si rarement, chez les autres ? Que de questions, en vérité !
 
Parlons du Guide Vert. Avant de m'en prendre une fois de plus et plus encore à mes amis Bettane et Desseauve (qui aime bien châtie bien...), cette année, c'est avec un amusement non dissimulé que j'ai suivi la petite dispute sans importance qui fait les choux gras de la blogosphère et qui oppose Hervé Bizeul aux journalistes de la RVF, en particulier à Antoine Gerbelle, l'un des auteurs du guide. Il y a tant de connivences entre ces deux-là qu'ouvrir une polémique me semble dérisoire. Résumons : Hervé Bizeul, du Clos des Fées, en a marre d'être jugé par des incompétents qui lui disent comment il devrait faire ses vins et il s'en est épanché d'abord dans son blog (voici ce qu'il disait  déjà en 2008, ainsi qu'en 2011), puis sur le site La Passion du Vin, là où il trouve une bonne part de ses supporters. Cela dit, notre Clos des Fées est fort bien noté chez le concurrent direct (B & D), à égalité cependant avec d'autres bons domaines.
 
Sont quand même sympas avec moi la paire Bettane-Desseauve. Après tout ce que j'ai pu balancer sur eux (encore une fois sans méchanceté), voilà qu'ils m'adressent à nouveau cette année leur guide annuel ! Alors que j'appréciais de le lire à ses débuts, sa lecture aujourd'hui me rend dingo. Tant d'oubliés est-ce possible ? À titre d'exemple, dans mon Sud, qu'il me semble pourtant bien connaître, le Mas d'Alezon et La Liquière à Faugères, pour ne citer qu'eux. Ont-t-il omis d'adresser leurs vins au syndicat du cru pour la dégustation du Bettane-Desseauve, ou est-ce le journaliste Alain Chameyrat, pourtant excellent, qui a oublié de demander une dégustation syndicale complète préférant se la réserver pour une autre expédition ? Dans mon Roussillon, attirés par la très convoitée et très people Vallée de l'Agly, les envoyés spéciaux venus en catimini de Paris sont allés jusqu'à oublier mon Domaine Vaquer ou ses presque voisins du Domaine des Demoiselles, tous deux à Tresserre, tous deux considérés comme des références parmi d'autres dans le secteur (méprisé ?) des Aspres. Ils sont même passés à côté de la Coume Majou ! En Minervois, ils ne font aucune mention de mes petits chouchous dont je vous parlerai prochainement, le Loup Blanc et le Viala, qui font de belles choses depuis dix ans ou presque ! Le problème est bien là : un guide national ne sert à rien. Pour être complet, et satisfaire les grincheux comme moi, il faudrait un guide sur chaque région. Et si je feuillette le Guide Vert (RVF), c'est kif kif.
Guides du Vin ? C'est quoi ce cirque ?
Retour au Guide Bettane-Desseauve (au passage, bel édito de maître Michel...). En s'en tenant à « ma » région, on a parfois l'impression d'une volonté affichée de publier un maximum de domaines, de jouer les défricheurs coûte que coûte, quitte à consacrer de la place à quelqu'un qui, sincèrement, n'en vaut pas la peine. Tout cela dans le simple but d'afficher un nom que le concurrent n'a pas encore relevé. Or, à mon sens, un vrai guide doit être découvreur, certes, mais il doit aussi convaincre en relevant la régularité d'un vigneron, en soulignant sa détermination, son opiniâtreté. S'en suivent quelques reproches, toujours de bonne guerre, puisque j'ai reçu le guide parmi les premiers comme au bon vieux temps où j'avais l'impression d'être un journaliste qui compte. Navré, cher lecteur si vous trouvez le temps long, tant il est vrai que mon article aurait pu s'achever ici même. Néanmoins, voici mes principaux griefs concernant le B & D, en me limitant au Languedoc et au Roussillon.
-Le lien avec le négoce, bordelais en particulier, et avec tout ce qui représente de l'argent à venir pour l'entreprise qui en raffole et qui en a besoin (salons, partenariats, pubs, etc), commence à devenir flagrant pour les initiés et presque trop voyant pour les non initiés. Je m'explique : en dehors de la Champagne et du Bordelais où les vins de fric et de frime sont surreprésentés – il serait bon de se demander pourquoi le guide persiste à mettre en avant ces sociétés du gotha financier qui ne peuvent que leur fournir des avantages. Lesquels ? Exposer au Grand Tasting, par exemple, juste mélange des rôles déjà dénoncé par mes zigs dans deux billets qui restent d'actualitéICI ou encore ICI. On s'interroge sur le fait que, en ne restant que dans « ma » région, la maison Thunevin-Calvet soit présente dans les « meilleurs vins », dans les « meilleurs rouges » aussi, et qu'elle figure déjà parmi les mieux notées du Roussillon. Est-ce à cause du bordelais Jean-Luc Thunevin himself ? Outre le « compositeur » Bernard Magrez cité pour un seul vin en Roussillon et pourtant récompensé de deux BD (?), on aimerait savoir pourquoi les honorables vins des grands bordelais tels le Corbières de Château d'Aussières (Lafite), l'autre Corbières de Château de Lastours (Laroque), le Limoux du Domaine de Baron Arques (Mouton), sans oublier le Languedoc de Mas Belles Eaux (Axa Millésimes), occupent tant de place ? Je n'ai rien contre, puisqu'il m'arrive aussi d'en parler dans ce blog, mais je n'abandonne pas pour autant les petits et les sans grades qui rament... Bon, je sais, on va me rétorquer que l'on a le droit d'aimer des vins et de ne pas en aimer d'autres. Tout de même, essayons d'être un chouya plus objectifs !
-Des invraisemblances existent, persistent et signent même. Pourquoi donner d'emblée deux BD (ce qui équivaut à deux étoiles) à un Domaine Saint-Sébastien qui ne fait que débuter sur Banyuls/Collioure et dont les vins sont plutôt moyens, alors que le bon Domaine des Schistes, classique d'entre les classiques, en est toujours à un BD ? Mieux, pourquoi les Pithon, Padié, Lubbe, Ausseil et autres Ribérach (il y en a beaucoup plus !), qui font magistralement leurs preuves depuis un bout de temps, sont toujours absents du guide ? Ont-ils oublié d'adresser leurs échantillons ? Sincèrement, agirait-on de la même façon, c'est-à-dire en les ignorant, si la famille Gauby, par exemple, commettait le même oubli ? On est d'accord sans discussions pour les trois BD attribués à Gardiès, Gauby, La Tour Vieille, la Préceptorie, le Roc des Anges, la Coume del Mas ou le Clos des Fées, mais pourquoi en accorder autant à la Cave de l'Abbé Rous dont les Banyuls, certes restent bons, mais dont les rouges et blancs classiques déçoivent quelque peu ? Où est la logique ? Et pourquoi tant de compassion pour des coopératives sans âmes et sans grands vins, hormis quelques VDN, pourtant si généreusement citées ? Serait-ce parce que la puissance invitante, celle qui paie les déplacements, insiste pour des raisons de politique intérieure pour que les coopératives aient la place qu'elles devraient mériter à leurs yeux ? Pas mal d'incompréhensions aussi face à ce pavé de plus de mille pages. Pourquoi citer (en bien, et c'est justifié) le Château Villerambert-Julien, dans le Minervois, tout en négligeant son excellent voisin le Château Villerambert-Moureau qui a fait ses preuves depuis pas mal d'années maintenant ?
-Bon nombre de vins goûtés – et là, la remarque s'applique à TOUS les guides – semblent être des échantillons de vins en cours d'élevages spécialement tirés de leur sommeil pour une mise en bouteilles spécifique et précoce afin d'être présents à temps dans les dates limites annoncées par le guide. Pourquoi une telle pratique ? Pour avoir une chance d'être pris en compte dans une dégustation. Résultat : on a des vins « avortés » qui, de ce fait, présentent de nombreux défauts sans gravité pour l'éleveur, mais que le journaliste ne manquera jamais de repérer et d'écorcher dans ses commentaires, voire d'éliminer. Les guides se disent tous proches du consommateur et ils nous jouent la grande sérénade du « je défends l'amateur de vin ». En fait, il n'en est rien. Je trouve qu'il est complètement illogique, aberrant même, de procéder ainsi. Un guide devrait être réalisé à partir de vins mis définitivement en bouteilles, de vinsidentiques à ceux proposés aux consommateurs. Pas étonnant qu'une telle pratique désinvolte donne des commentaires sibyllins et quelque peu illogiques à propos, par exemple, d'un Coteaux du Languedoc 2010 du Prieuré Saint-Jean de Bébian que je vous livre in extenso : « L'échantillon est éventé et ne permet pas de le noter convenablement. Puissant en matière, il sera à voir après la mise ». S'il sera à voir après la mise, pourquoi en parler maintenant ? Pour être le premier à dire une connerie ? Si l'échantillon ne peut se noter convenablement, pourquoi diable s'évertuer à le noter ? Et pourquoi, dans ce cas, lui donner l'excellente note de 15/20, note généralement donnée à des vins aux commentaires plus laudateurs ? Beaucoup d'incohérences donc dans ce guide trop riche où l'on donne l'impression d'avoir voulu trop en faire en tentant de battre le record du « Guide qui cite le plus de domaines », y compris des propriétés non abouties ou des coopératives sans grand mérite pour l'amateur.
-Autre chose, ou last but not the least ! Pour remplir, pour animer, ou pour je ne sais quelle raison au juste, si ce n'est celle de tomber dans le panneau des classements en tous genres, nos amis ont concocté une multitude de « tops », dont celui des vins à moins de 6 ¤ le seul capable de m'intéresser compte tenu de ma radinerie notoire. Or, il semblerait que ce classement hautement original concerne des vins à prix départ hors taxes, plus que des vins TTC départ. Ce distinguo devrait d'ailleurs apparaître... Le Côtes-du-Rhône rouge 2009 de Guigal sur lequel je me suis arrêté parce qu'il vient probablement du Gard, est plus à ranger dans la catégorie des vins à moins de 8 ¤, car le moins cher que j'ai trouvé sur le net pour ce vin d'ailleurs probablement plus en vente et remplacé par le 2010, était 7,20 ¤. Quant au Faugères, Domaine de Fenouillet « Extraits de Schistes » 2010, le moins cher sur le site Vignerons Passions, qui appartient à la Maison Jeanjean, est de 6,25 ¤ et encore sans précision de millésime ni de cuvée. À mon humble avis, la cuvée retenue par le guide doit même dépasser les 8 ¤ !
Bon, voilà, je pourrais aller plus loin, prendre en compte d'autres régions, Tahiti, par exemple en fin d'ouvrage, mais j'arrête pour la bonne raison que nul n'est parfait en matière de guides. J'en ai commis plusieurs dans ma vie, dont un renouvelé chaque année pendant presque 30 ans et quand je vois le nombre de conneries que j'ai pu faire, j'arrête les frais !
Michel Smith

 



 

Tags : guides, guide vin, guide de la RVF, vins, humour, médias, presse
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#Posté le jeudi 06 septembre 2012 12:14

Modifié le jeudi 11 octobre 2012 14:45

En perdition, rue de Lappe !

En perdition, rue de Lappe !






Sur les traces de Marcel Mouloudji,


du Balajo et de la Chapelle des


Lombards avec sa cohorte


de musicos latinos, je suis revenu


Rue de Lappe...


À lire sur mon blog commun et


vineux :
 
Les5duVin.com
Rue de Lappe, donne du rhum à ton homme !

Rue de Lappe, donne du rhum à ton homme !

http://www.deezer.com/music/track/16918597…

via : 0z.fr




E que viva la Salsa !
 
 
 
 
Tags : Paris, Salsa, Rhum, Chapelle des Lombards, Balajo, Mouloudji
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#Posté le jeudi 27 septembre 2012 03:54

Modifié le jeudi 27 septembre 2012 04:08

Ils sont partis !

Ils sont bel et bien là...

Ils ont débarqué avec un peu d'avance avec leurs arrogances, leurs outrances. Les « aoûtiens » se vautrent sur nos plages depuis ce matin. Parisiens, toulousains, lyonnais et autres martiens citadins ou pas, les voilà qui jouent au ballon par dessus ma serviette, qui claquent leurs tongs dans le sable sans se soucier du nuage de poussière que chaque pas déclenche, qui s'installent au plus près de mon corps, parlant fort à leurs chiens comme à leurs mômes. Ils sont là qui mitraillent la plage avec leurs téléobjectifs, qui causent à leur Iphone, qui s'enduisent de crème jusque sur les parties les plus intimes. Les voilà encore qui exposent leurs tatouages ridicules : une montgolfière sur la fesse (La dame aime-t-elle s'envoyer en l'air ?) ou un avion à réaction à partir du nombril (Le mec tire-t-il plus vite que son ombre ?), un papillon sur le sein gauche ou un aigle sur l'épaule. Les voilà qui crament cigarette sur cigarette enfouissant leurs mégots dans le sable parmi d'autres détritus. D'ici quelques jours, ce sont eux qui repartiront grillés.


Pour le moment, il est temps de quitter ma plage « sauvage » pour revenir en septembre.
Tags : vacances; Roussillon; touristes
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#Posté le jeudi 11 octobre 2012 14:39

LE JOUR OÙ J'AI FAUTÉ GRAVE...

LE JOUR OÙ J'AI FAUTÉ GRAVE...
Pardon, j'ai fauté...
 
Un moment de faiblesse comme il peut arriver à chacun d'entre nous. Une envie soudaine de revire une expérience américaine dans la banlieue de Perpignan. Je n'ai pas pu résister, seul, face à l'enseigne rouge pompier et à l'odeur si caractéristique de junk food qui flottait autour. Déjà que l'autre jour à Montpellier j'ai succombé au fast-food asiatique avec ses nems douteux et ses samossas sans saveur. Je fil du mauvais coton en cette fin d'août. Ou alors, il s'agit d'un moment d'égarement. C'est pour cela mon père que je viens me confesser à vous et implorer le pardon de notre seigneur miséricorde. Ah cette maudite enseigne...
 
J'avais plusieurs excuses, quatre bonnes au moins :
-Primo, je rentrais dans la nuit naissante d'une expédition en terre Minervoise ;
-Deuxio, je voulais profiter de l'essence à prix coûtant au Carrefour de Pia ;
-Tertio, j'avais une grosse envie de pisser ;
-Quatro, je crevais la dalle.
 
Voilà pourquoi après avoir poireauté pour faire le plein derrière les gros quatre-quatre, les campings cars et les  bagnoles venues de la France entière qui rentraient chargés de gamins bruyants, je me suis retrouvé dans l'enfer du Mac Do. Il y avait de rutilantes machines, plus belle que celles de la SNCF, pour prendre les commandes sans faire la queue, des ados qui profitaient du wifi pour manger face à leur écran, une musique boum chaka boum chaka boum qui résonnait en fond sonore, un comptoir de pâtisseries, de glaces et de boissons multicolores, des mômes surexcités qui partaient avec des plateaux couverts de boîtes en forme de maisons que l'on ouvre par le toit, des sourires accrochés au comptoir derrière les caisses enregistreuses, des superviseurs aux aguets, des tongs par milliers, des pantacourts aussi.
 
Et là, j'ai sombré tête la première dans le foutre du ketchup rajouté entre deux tranches de steak haché dans le big machin truffé de morceaux de cornichon et de lanières de laitue. J'ai croqué à pleines dents les frites archi salées à peine refroidies et toujours aussi papier mâché que lors de ma première expérience il y a trente ans dans un burger truc des Champs Élysées. C'était d'un chic à l'époque ! J'en avais même fait la sortie du dimanche d'un père qui alors allait voir les films américains avec son fils.
 
Mon repas a duré 5 minutes montre en main. Un peu plus car je suis allé pisser. Dans mon auto qui me ramenait sagement chez moi, j'ai pensé qu'il me manquait quelque chose dans ce repas vite avalé que j'avais payé 7,20 ¤, bouteille d'eau incluse. Oui, c'est ça, il manquait juste le vin, une dive bouteille fut elle en plastique. Seulement voilà, j'ai beau réfléchir encore en relatant mon expérience, je ne trouve aucun vin digne d'accompagner un tel repas de merde ! Croyez moi mon père, je n'ai pas l'intention de recommencer de sitôt...
 
Ça va ? C'est bon ? J'peux y aller ? J'suis pardonné ?
 
Michel Smith
Tags : Mac Do, Mac Donald's, Mac Donald, Burger, Vins
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#Posté le mercredi 29 août 2012 18:51

Ses archives (90)

  • #Vendredi du Vin # 48 : pérégrinations d'un cinéaste bidon à Cette, Cète ou Sète. ven. 27 juillet 2012
  • Vendredis du Vin # 47 : Le droit de bouchon, c'est le droit d'aimer ! ven. 29 juin 2012
  • Bourgueil, vu du dessous... jeu. 21 juin 2012
  • Perpignan la dégueulasse ! dim. 17 juin 2012
  • DANS LES YEUX DE MARION lun. 28 mai 2012
  • #Vendredis du Vin # 46 : Syrah la Grande ! ven. 25 mai 2012
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